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Publié le 6 Février 2013
Mais regardez donc ces prolétaires ataviques se prostituant sur l’hôtel d’une gloriole éphémère !
Pensant narguer du haut de leur égo déplacé ce qui n’est autre que la vérité vraie car au-delà d’une réalité édulcorée par le ressenti consumériste ils ne veulent pas voir que la vie ne se définit que par sa fin !
Ah ! Elle est belle la civilisation avancée, qui ne peut exister que par l’annihilation d'un autre. La voilà ! La marche triomphante du mercantilisme patenté qui n’ayant pour autre frivolité que l’amoncellement de biens et qu'on peut résumer de la sorte : « Je possède, donc je suis ».
Laissez-moi rire !
Il y a cependant une richesse que l’on ne peut acquérir par aucune devise...
Celle du cœur.